La réception des oeuvres vues par Pierre Sandoz Du talent mais une façon d'écrire sensuelle et dépravée, par Paul Bourget Une énergie peu commune, par Anatole France Le Balzac du caboulot, par Edmond Scherer Je le déteste et je l'adore, par Thilda Un manque de sens moral et de finesse, par Ferdinand Brunetière Un matérialisme et un pessimisme de parti pris, par Georges Renard Un prince de la crapule, par Léon Bloy Une puissance créatrice prodigieuse, par Jules Lemaître La Bête et le Choeur, par Jules Lemaître Une monstrueuse beauté animale, par Victor Arnould Fumiers de toutes sortes, par Albert Robida Psychologie plutôt que physiologie, par Jean-Marie Guyau Zola ne m'apprend rien de nouveau, par Ernest Renan Une évidente innovation en art, par Émile Verhaeren Une marche ascendante, par L. Roger-Milès Une oeuvre désespérante, par Étienne Decrept Un génie malgré tout, par L. Bernard-Derosne Une continuelle déformation de la réalité, par René Doumic Une énorme épopée démocratique, par Paul Brulat Aucune postérité pour Zola, par Antoine Laporte