Habitué de la Bourse. C’est un très bel homme, luttant contre la cinquantaine, étalant une barbe superbe, d’un noir d’encre. Il passe pour un gaillard extraordinairement fort. Jamais il ne parle, il ne répond que par des sourires ; on ne peut savoir dans quel sens il joue, ni même s’il joue.

(L’Argent)

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