Receveur particulier à Plassans. Tient sa place de la réaction cléricale. Au coup d’État, les insurgés l’emmènent en otage avec les autres autorités de la ville , le traitent avec douceur et lui assignent comme prison une auberge de Saint-Roure. Sorti trop tôt dans son affolement, alors que les troupes de l’ordre, ivres de fureur, tirent encore, Peirotte est tué par la dernière décharge ; il laisse enfin sa place de receveur aux Rougon qui la convoitent depuis longtemps. On ramène le corps à Plassans.
(La Fortune des Rougon)