Père de Christine. Un Gascon de Montauban. II a dû prendre sa retraite d’officier, à cause d’une paralysie des jambes. Est resté à Clermont, entre sa femme et sa fille, et, un jour qu’elles étaient à l’église, il est mort d’une dernière attaque. Christine se rappelle l’affreuse nuit, le capitaine très gros, très fort, allongé sur un matelas, avec sa mâchoire inférieure qui avançait ; si bien que, dans sa mémoire de gamine, elle ne peut le revoir autrement.
(L’Œuvre)