FAUCHEUR (LE PÈRE)
Tient à Bennecourt une auberge de campagne, fréquentée par les peintres. Un petit commerce d’épicerie est annexé à l’auberge ; il y a une grande salle qui sent la lessive, une vaste cour pleine de fumier, où barbotent des canards. Après la mort des Faucheur, l’auberge est reprise par leur nièce Mélie.
(L’Œuvre)