Un épicier de la rue Montorgueil. Devenu veuf, s’est mis à coucher avec ses bonnes, très raisonnablement, pour éviter de courir au dehors ; mais cela lui adonné le goût des femmes : il lui en a fallu d’autres, bientôt il s’est lancé dans une telle noce que l’épicerie y a passé peu à peu, les légumes secs, les bocaux, les tiroirs aux sucreries. Bécot meurt d’un coup de sang.

(L’Œuvre)

Fermer le menu